bonjour à tous,
je suis une femme de 30ans
comme les autres
qui a trois charmants bambins
mais je possède comme tout le monde
mes joie, mes amours, mes faiblesses
et c’est à travers ce blog
composés uniquement de mes poèmes
que je veux vous faire partager
un peux de ma vie…
bonne visite à tous.
Tu as toujours été formadable,
Tel le héros d’une fable,
petit bout de femme,
avec une si grande âme,
tu nous a tout donné,
et bien plus enc ore je sais,
tu as toujours mal vécu,
malgré tout il t’a fallu,
entre autre nous assumer,
de nous, bien t’occuper,
ton enfance était si rude,
ton adolescence si crue,
ensuite nous sommes arrivés,
ce qui n’a rien arranger,
et voulu ou pas,
tu n’as pas eu le choix,
tu nous a aimé,
même sans qu’on l’aie mérité,
puis tu as encore souffert,
lorsque tu as découvert,
qu’on allait te quitter,
tu t’es sentie abandonnée,
nous avons vécu,
frédéric et moi,
un peux en égoistes,
avec nos rares visites,
mais encore une fois,
même dans tout tes états,
tu ne t’es pas laissée aller,
tellement forte, tu as continué,
jusqu’a cet effort de trop,
j’aurais pu s’il le faut,
te donner ma vie sans dire un mot,
juste pour alleger tes maux,
tu as fini dans la dignité,
encore une fois éreintée,
pour ne rien montrer,
pour ne pas nous faire pleurer,
tu pensais peut être,
qu’il te restait encore deux êtres,
qui seraient assez soudés,
ensemble pour se consoler,
mais ce ne fût pas la cas,
j’en suis désolée, crois moi,
ce n’est que maintenant,
après si longtemps,
que je comprend son pourquoi,
il a voulu faire cela,
il était un peux comme moi,
mais ne le montrait pas,
se sentant abandonné,
lui aussi a fini par cèder,
mais pas comme toi par maladie,
mais parce qu’il était démoli,
depuis votre départ,
je vis un peux au hasard,
me demandant chaque jour,
si je trouverai l’amour,
que j’ai éprouvé pour vous,
et que j’ai encore beaucoup,
si je pourrai survivre,
a cette souffrance terrible,
vous m’avez lâché,
peut être même oublié,
maintenant c’est moi qui souffre,
qui m’enfonce dans ce gouffre,
espèrant trouver la lumière,
retrouver des repères,
mais sans vous c’est dur,
car mon coeur n’est plus pure,
remplis de haine et déception,
j’attend avec raison,
le moment ou je vous rejoindrai,
avec tant d’impatience même si je sais,
que je dois vivre pour mes bébés,
le jour de ma délivrance viendra,
et j’en suis sur, me libèrera,
et alors a mon tour,
je ferai souffrir autour,
de moi les gens qui m’aiment,
mais je suppose que c’est la vie,
que ca doit se passer ainsi….
pourquoi faut il toujours que les gens ne me comprennent pas?
pourquoi ais je l’impression qu’on ne fait du mal qu’a moi?
pourquoi ne peuvent il pas faire sans ma juger?
pourquoi ne peuvent il pas me laisser en paix?
tant de questions sans réponses…
tant de frustration qui me ronge…
il y a des jours…
ou je voudrais connaître l’amour,
comme au temps ou je savais,
comment on faisais,
je me suis perdue dans le noir,
oui, je l’avoue, j’en ai marre,
je souffre d’une dépression,
et je lui loin de la guairison,
et ca, personne ne comprend,
personne ne me tend,
cette main si doucet et si forte,
afin de m’ouvrir la porte,
celle qui montre le lumière,
celle que je vois dans mes prières,
au contraire, ils m’entassent,
on m’enfonce dans l’impasse,
pensant peut être que je vais cèder?
si ils continuent, c’est sur ils vont gagner…
as tu déja senti les bat tements de mon coeur,
comme si tu vivais enfin ta dernière heure,
as tu déja senti mon dernier souffle,
comme si tu sortais d’un gouffre,
as tu ressenti ma naissance,
comme si tu avais partagé mon enfance,
ne te demande tu pas,
pourquoi tu ressens tout cela,
peut être sommes nous,
je l’espère, je l’avoue,
deux âmes soeurs,
deux êtres pour un coeur,
pour moi c’est ca l’amour,
le pur, le vrai, celui de toujours,
un amour passionnel,
bien plus que sensuel,
un amour innocent,
bien plus fort que tous les temps,
qui durerait encore,
longtemps après ma mort,
que rien ne détruirait,
ni les gens, ni leurs faits,
maintenant que je sais,
que j’ai vu ce que c’est,
je vais te garder en moi,
comme la première fois,
comme un doux souvenir,
qui ne veut s’évanouir,
et nous vivrons a deux,
ce bonheur merveilleux,
jusqu’a la fin des temps,
avec toi mon prince charmant.
le temps passe,
et laisse des traces,
j’ai grandi avec toi,
j’ai grandi grace a toi,
tu étais mon repert,
un bout de mon univers,
je t’ai d‘abord haï,
je n’avais pas compris,
pourquoi tu as fait ca,
ni pour qui, ni pourquoi,
rien n’en valait la peine,
j’ai maintenant tant de peine,
tu es loin a présent,
peut-etre près de maman,
tout ce que j’espère,
c’est que d’en haut dans les sphères,
tu ne regrette rien,
que maintenant tu es bien,
cet amour fraternelle,
qui nous lie pour l‘éternel,
est resté avec moi,
et jamais il ne me quittera…
a toit qui m’a blessé,
a toi qui m’a tuée,
tuée de l‘intérieur,
fait découvrir la peur,
toi qui m‘a tout volé,
quand tu m’as violé,
je suis morte à présent,
du moins intérieurement,
je te doit mes souffrances,
mes larmes, ma pitence,
il y a maintenant longtemps,
que tu as commis tes agissements,
mais je n’ai pas guéri,
je suis toujours meurtrie,
je fais semblant de rien,
on croit que je vais bien,
je voudrais m’effacer,
ne plus avoir a penser,
ne plus voir ce cauchemard,
quand je m’endort le soir,
vivre enfin normalement,
redevenir comme avant,
avant que tu me souille,
avant que tout se brouille,
peut être bien qu’un jour,
je trouverai l’amour,
celui qui me siognera,
et qui me comprendra,
mais jamais il n’effacera,
ce que tu as fait de moi…
ce matin je me suis levée,
je t’ai attendu toute la journée,
j’ai voulu te faire une surprise,
j’ai failli en faire une crise,
la haine m’est montée,
quand je t‘ai vu me tromper,
une envie de tout casser,
incontrôlablement m’est montée,
j’ai eu envie de te sortir,
mes 4 vérités et bien pire,
mais tu n‘en vaut pas la peine,
je préfère garder ma haine,
ma peine, ma tristesse, mon amour,
pour quelqu’un qui en vaut le détour,
je me suis armée de courage,
pour ne pas afficher ma rage,
et je suis rentrée,
afin de tout rassembler,
tes affaires, nos souvenirs,
j’ai cru que j‘allais en mourir,
car j’ai réalisé,
c’est ce qui m’a le plus blessé,
que notre vie n‘avais été,
qu’un mensonge bien déguisé,
mais ce qui me blesse le plus à tort,
c‘est que malgré tout, je t‘aime encore…
tu as rempli mon coeur,
d‘amour et de douceur,
tu étais tout pour moi,
tu ne le voyais pas,
tu as brisé mes chaines,
tu apaisais mes peines,
jusqu‘a ce jour de pluie,
ou tu as tout détruit,
je n‘aurais jamais cru,
que ca, tu aurais pu,
effacer notre histoire,
la ranger au placard,
comme un journal banale,
tu m‘as fait tant de mal,
il m‘a fallu du temps,
tu regrettes a présent,
j‘ai retrouvé sans toi,
dans ma vie, de la joie,
tu voudrais, je le sais,
que je tire un gros trait,
désolée je n‘peux pas,
je ne risquerais pas,
de souffrir a nouveau,
même si j‘ai mes défauts,
des défauts comme t‘aimer,
je n‘sais pas t‘oublier,
tu dois tracer ta route,
et même si t‘as des doutes,
que bien que c‘est fini,
je t‘aime, je te le dit...
toi mon petit frère
tu es mon coeur, ma chaire
tu es toute ma vie
je t’assure tu as pris
dans mon coeur une place
je te le dis en face
surtout ne t’inquiète pas
parce que je veille sur toi
dans le monde des rêves
je dépose mes lèvres
sur un coeur qui bat
c’est le tiens, tu es la
cette douce chanson
j’en entend le soupcon
voila que tu freudonne
et ensuite tu me donne
cet amour que j’ attend
oui, si pure et si grand
ce que j’ai espéré
toute ma vie je le sais
mais ce n’est qu’un doux rêve
oui ce n’est qu’une trève
car lors de mon réveille
quand je sors du sommeille
c’est la que je m’apercois
que tu n’es toujours pas la
j’aime me aisser aller
à rêver des tes baisers
car ce rêve d’amour
je l’attend toujours…